• Moins de haine,

    Moins de guerre,

    Moins de larmes et moins de sang,

    Moins d'espoir d'être puissant,

    Moins de pouvoir et moins d'argents,

    Et plus de sentiments,

    Plus l'espérance est grande,

    Plus la déception est violente.

     

    Cordialement,

    A.Anonymous


    votre commentaire
  • Lui

    Il se voile la face,

    Tel un bandit,

    Il nous sort tout le temps sa préface,

    Pour qu'on en rit,

    Stupidité absolue,

    Même un aveugle,

    L'aurait su.

     

    A quoi bon forcer sur sa vie,

    C'est lui-même qui le dit,

    Il veut sauter du 10ième étage,

    Mais il sait bien qu'il n'y aura pas d'atterrissage,

     

    Ecrasé sur le béton,

    Il pensait allait dans les cieux,

    Merde ! Qu'est-qu'il est con !

    C'était le malin malicieux.

     

    Cordialement,

    A.Anonymous


    votre commentaire
  • Tu es notre cible,

    Hautain, froid et distant,

    Tu paraissais crédible,

    Mais en te parlant,

    Tu as paru déroutant,

    Innocent,

    Inconscient,

    De plus en plus tu t'es dévoilé,

    A ma grande surprise,

    Tu t'es démarqué,

    Et pourtant la discrétion je maitrise,

    Tu as essayé de nous trouver,

    Malheureusement, tu as échoué,

    Surveille tes arrières,

    Nous sommes partout,

    Dans les cieux ou sur la terre,

    Nous voyons tout,

    Il n'y a pas de retour en arrière,

    Nous sommes des hiboux

    Tu as joué,

    Ton temps est écoulé,

    Mais tu n'as pas gagné,

    Il est l'heure.

    GAME OVER...

    S.A.Anonymous


    votre commentaire
  • C'était la Reine,

    Obéie par tous ses sujets.

     

    C'était la Reine,

    Sans scupule qui tuait.

     

    C'était la Reine,

    Qui aucun homme ne respectait.

     

    C'était la Reine,

    Dont le coeur était noir de jais.

     

    C'était la Reine, 

    Que tous les habitants détestait. 

     

    C'était la Reine,

    Qui les trésors des autres dépouillait.

     

    Les habitants sont fatigués,  ils aimeraient leur trêve. 

    La Reine est sans pitié,  ils veulent tous qu'elle crêve.

     

    Dans ce petit village, ils se sont tous consertés.

    Et ils ont jugé bon, du sort de la Reine, de la tuée.

     

    Alors dans la nuit, dans le palais de la Souveraine,

    Cinq paysans se sont introduit, avec immense haine.

     

    Et de cinq poignards, et de cinq cicatrices, de cinq flots.

    Ils ont assassiné cette dame, qui n'a pu en dire un mot.

     

    C'était la Reine, qui aimait voir les gens pleurer,

    C'est l'histoire de la Reine, que même dans sa mort n'a pu se racheter.

     

     

    C.Anonymous


    votre commentaire